Quatre heures, vingt-deux minutes et dix-huit secondes
Lionel Shriver a une réputation d’anticonformiste et c’est cette réputation qui m’a poussé à lire son dernier livre – j’ai un petit penchant même pas coupable pour les pourfendeurs de la bien-pensance ambiante. Son personnage principal est de la même trempe qu’elle – oui elle a un prénom masculin – en plus d’être une avant-gardiste. Elle a arboré un tatouage à l’époque où ces attributs n’était arborés que par des minorités et bien avant que tout un chacun se couvre le corps de mandalas....