Les locataires de l’été
Je pense – mais j’ai la flemme de vérifier – que ce titre m’a été conseillé par Frédéric Beigbeder dans son livre Premier bilan après l’apocalypse. Je ne connaissais pas du tout Charles Simmons avant de lire ce livre et le titre Les Locataires de l’été ne m’aurait pas attiré. Seule la belle couverture du Phébus libretto, illustrée par un détail d’une oeuvre d’Edward Hopper, aurait pu allumer une étincelle dans mon regard. Il est vrai que ce titre, Les Locataires de l’été, n’est pas une grande trouvaille du traducteur. Le titre original, même s’il est simple, Salt Water, me semble beaucoup plus approprié car je suppose qu’il fait précisément référence à ce passage très évocateur du livre. ...