Le dernier cosmonaute
Dès les premières pages, on pense tout de suite à Chris Ware, à son travail d’une précision quasi maniaque. Les dessins ligne claire au cordeau, les aplats de couleurs harmonieux produisent le même effet, on ne peut qu’être séduit. On retrouve d’autres similitudes comme le décor d’une petite ville américaine et l’immersion dans une lower class à la lisière de la dépression. Dans ce cadre, vivent deux jeunes gens un peu paumés voyant leur vie au travers d’un hublot....