City on fire
Je ne sais pas pourquoi je me suis mis en tête de lire ce roman et encore moins de le terminer – je me souviens d’avoir fait le même genre de bêtise il y a des années avec un autre défi lancé aux lecteurs les plus patients, Jonathan Strange & Mr Norrell. Il est vrai que j’apprécie tout particulièrement la littérature américaine, mais là quand même près de 1000 pages dans un style très classique – pour ne pas dire ennuyeux – ça s’apparente à du masochisme....