Indélébiles
Après la sidération racontée dans Catharsis vient le temps des souvenirs et de la nostalgie. Luz nous fait revivre les bons moments, la grande époque de la rédaction de Charlie Hebdo. Des moments qu’il évoque en se mettant en scène lors d’une nuit d’insomnie, sous un trait différent réalisé au pinceau. Tous les collaborateurs du journal sont très bien croqués – il faut dire qu’il les connai[ssai]t par coeur et qu’il avait dû les dessiner un nombre incalculable de fois. Dans le lot, et même si ce n’est pas le seul, Cabu rendu en quelques traits est génial. Son statut de papa de la rédaction, de mentor de Luz, le respect que les autres ont pour lui, n’en est que plus émouvant. ...