Shiki
Rosalie Stroesser n’est pas la première à raconter en BD son expérience au Japon, je pense par exemple à Manabé Shima – beaucoup plus riant et léger – ou aux Cahiers japonais – beaucoup plus techniques. Mais ce récit se distingue par un sentiment contrasté qu’elle exprime elle-même très bien dès le début du livre. Comment évoquer cette relation particulière, toute en contradictions, que j’ai développée avec le Japon ? Ce mélange d’attirance et de rejet, cette fascination mêlée d’incompréhension....